Menacée de licenciement pour faute (que je réfutais), j’ai été conseillée et accompagnée par l’UNSA-TPE. Finalement, mon employeur a accepté une rupture conventionnelle et la prise en charge des frais de mon avocat qui a négocié et obtenu ce règlement amiable.

Unique salariée d’un club sportif, j’avais des divergences d’interprétation avec mes employeurs (des bénévoles) quant au décompte de mes heures de travail. En appelant la hotline UNSA-TPE, un juriste a répondu à toutes mes interrogations en s’appuyant sur mon contrat de travail et ma convention collective. Grâce à cet éclairage, j’ai pu faire reconnaître mes droits.

En lisant la FAQ UNSA-TPE, je me suis rendu compte que mon employeur n’appliquait pas la loi en me demandant de financer une partie de mon équipement de travail. En lui fournissant la référence des textes mentionnée dans l’article, mon employeur a dû reconnaître son erreur et y mettre fin.

Employée par un particulier sans contrat de travail (car je faisais moins de 8h/semaine), celui-ci m’a renvoyée sans aucune indemnité. Grâce à la protection juridique UNSA-TPE, j’ai déposé un recours aux prud’hommes et me suis faite assister par un avocat. Le jugement m’a permis d’être rétablie dans mes droits.