L’UNSA Fédération Commerces et Services étaient avec les salariés vendredi dernier devant l’enseigne de prêt-à-porter espagnole, rue Saint-Ferréol, pour demander des hausses de salaires. Le mouvement pourraient s’élargir si le groupe n’ouvre pas la voie à des négociations.
<iframe src="https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=316&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Flamarseillaise.fr%2Fvideos%2F649910106618493%2F&show_text=false&width=560&t=0" width="560" height="316" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen="true" allow="autoplay; clipboard-write; encrypted-media; picture-in-picture; web-share" allowFullScreen="true"></iframe>
Salaires et pénibilité
Les revendications concernent principalement les salaires et les conditions de travail, alors que les négociations annuelles obligatoires (NAO) se tiennent en ce moment dans le groupe. Nous demandons un meilleur partage de la richesse, alors que Zara a réalisé plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires cette année.
Le groupe estime que les salariés sont mieux payés que dans d’autres enseignes de prêt-à-porter. Mais c’est sans compter sur les bénéfices records du groupe et sur l’inflation.
De plus nous déplorons des livraisons en quantité pharaoniques, et des conditions de travail pénibles, entraînant fatigue excessive, arrêts maladie à répétition et démissions. En espèrant un rétablissement rapide du dialogue social et des réunions de négociations.